Afin que leurs produits et services puissent s’imposer dans le monde entier, il est important que les entreprises de l’industrie tech suisse (industrie MEM et branches industrielles apparentées) bénéficient de bonnes conditions-cadres. Cela ne sera possible que si des candidats sont élus au Conseil national et au Conseil des États qui connaissent véritablement l’industrie - et qui s’engagent avec passion en sa faveur.
Swissmem soutient ces candidats par le biais de la « team industrie tech » ainsi qu’à l’aide d’un engagement médiatique et d’actions de courriels dans les différentes régions. Vous trouverez des informations à ce sujet dans notre rubrique News.
Thomas Anwander (ZH)
Le Centre
En tant que président de la chambre de commerce et de l’association patronale de Winterthour et ancien General Counsel de Rieter, je suis conscient qu’il est important d’entretenir des relations de partenariat stables avec l’Europe et de conclure des accords de libre-échange avec d’autres zones économiques. Un approvisionnement en électricité fiable et à des prix compétitifs est un avantage considérable pour l’industrie suisse. Pour cela, nous devons augmenter la production d’électricité indigène et conclure un accord sur l’électricité avec l’Europe. Grâce à leurs produits innovants, les entreprises suisses sont compétitives sur le marché mondial. En tant que site d’innovation, la Suisse aura besoin à l’avenir d’institutions de formation d’un standard élevé à tous les niveaux et d’étendre les coopérations internationales en matière de recherche.
Maxime Auchlin (NE)
Vert libéraux
Économie et écologie vont de pair : une certitude qui est un gage de durabilité et de résilience pour notre pays. Nos industries et PME rivalisent d’inventivité pour être compétitives. Cette dynamique est entravée par la politique fédérale de l’autruche : le premier qui bouge a perdu… A Berne, je compte représenter l’esprit d’entreprise et la vision économique vert’libérale, défendant des positions efficientes et dans l’intérêt de la Suisse, de son économie, de ses emplois, de sa formation et de sa recherche :
- pro-européenne sans ambiguïté – pour garantir l’accès complet et sans bureaucratie excessive au marché unique ;
- orientée solution – pour pallier la pénurie de main-d’œuvre, aussi grâce à une immigration raisonnée ;
- écologiste pragmatique – afin de profiter de la transition, véritable aubaine économique et créatrice de prospérité.
Maxime Auchlin
Responsable développement & qualité, Auchlin Polissage SA
Vert libéraux
www.ne.vertliberaux.ch
Martin Bäumle (ZH)
Parti les Vert’libéraux Suisse
En tant que coprésident de SPIN, je souhaite mettre à l’ordre du jour le thème Power-to-X de manière remarquée et neutre du point de vue technologique avec pour objectif d’établir un bon lien avec la science, l’économie et la politique. Cela soutient la voie vers le zéro net, renforce la sécurité d’approvisionnement et permet à l’économie suisse, et notamment à l’industrie tech, de créer de la valeur ajoutée.
Judith Bellaiche (ZH)
Partito Verde Liberale della Svizzera
En tant que directrice de l’association du secteur des TIC et d’Internet Swico, ma tâche consiste à promouvoir les technologies innovatrices en Suisse et à les mettre en lumière dans les milieux politiques. L’industrie des machines est une des industries les plus modernes en matière de numérisation. Ces deux branches sont étroitement liées. En tant que Conseillère nationale actuelle, je m’engage tous les jours en faveur d’un site d’innovation performant, de suffisamment de moyens pour la recherche et le développement et de relations constructives réglementées avec l’Europe.
Yannick Berner (AG)
PLR.Les Libéraux-Radicaux
En tant que député au Grand Conseil et entrepreneur, je m’engage chaque jour en faveur d’une place industrielle suisse performante. Il est grand temps que notre industrie tech dispose à nouveau à Berne d’une voix qui plaide pour davantage d’innovation et de technologie. Berner à Berne – avec l’envie de progresser.
Stefan Brupbacher (ZH)
PLR.Les Libéraux-Radicaux
Mon canton d’origine Zurich, ses habitantes et habitants et ses entreprises me tiennent à cœur.
L’avenir de la place industrielle suisse m’importe énormément : en tant que directeur de Swissmem, je représente jour après jour plus de
1 350 entreprises et 320 000 travailleurs, dont 20 000 apprentis. Nous en profitons tous si les entrepreneuses et entrepreneurs bénéficient de conditions-cadres libérales et de marchés ouverts. Déjà lorsque j’occupais les fonctions de secrétaire général du Département fédéral de l’économie, de la formation et de la recherche et de secrétaire général du PLR. Les Libéraux-Radicaux, je m’engageais pour des solutions d’avenir courageuses.
L’expérience acquises depuis de nombreuses années me permettra de défendre vos intérêts au sein du Conseil national dès le premier jour.
Thierry Burkart (AG)
PLR.Les Libéraux-Radicaux
J’ai été membre du Grand Conseil de 2001 à 2015 et du Conseil national de 2015 à 2019. Depuis 2019, j’ai l’honneur de représenter le canton d’Argovie au Conseil des États. Je suis une ligne directrice politique sans équivoque, marquée par des valeurs libérales telles que la liberté, la responsabilité et l’initiative personnelle.
La coopération entre les parties est essentielle pour trouver de bonnes solutions durables. C’est avec grand plaisir que je m’engagerais pour quatre années supplémentaires au sein du Conseil des États.
Les plus grands défis des prochaines années sont : la sécurité de l’approvisionnement en électricité ; l’évolution démographique, notamment en ce qui concerne nos systèmes économiques et de sécurité sociale ; le maintien du fonctionnement de nos infrastructures (mobilité, télécommunications et numérisation, etc.) ; la capacité de défense.
Patrick Cotting (ZH)
Le Centre
J'essaie de combiner les expériences tirées de la pratique avec les connaissances de la recherche. De plus, je m’engage non seulement dans diverses start-up, mais enseigne également dans diverses universités. Je développe pour des entreprises, des institutions et les pouvoirs publics des stratégies et des projets qui font avancer l’économie suisse et la société. L’un d’entre eux fut le tour du monde grâce à l’énergie solaire, le projet PlanetSolar, pour lequel j’étais responsable du marketing et des partenariats. Actuellement, c'est avant tout la start-up Mitipi qui veut rendre le monde plus sûr grâce à une nouvelle approche disruptive. Je ne souhaite pas seulement former et développer de nouveaux talents, je veux aussi contribuer à la percée de nouvelles technologies pour la prospérité de la Suisse, sa société, son économie et sa nature.
Ivette Djonova (ZH)
PLR.Les Libéraux-Radicaux
À l’échelle internationale, la Suisse doit jouer un rôle plus actif en matière de numérisation et doit créer des conditions plus attrayantes dans le pays pour renforcer la place économique. En tant que Head of Legal & Public Affairs dans mon association de numérisation, je m’engage chaque jour pour de meilleures conditions-cadres pour la branche numérique. Si la Suisse ne participe pas au flux de régulation de l’UE, nous ne pourrons qu’observer l’évolution. La Suisse sort du lot dans le domaine technologique grâce à une régulation basée sur le principe et neutre au niveau technologique - il faut utiliser cet atout comme avantage de la place économique.
Ivette Djonova
Head of Legal & Public Affairs, Swico
PLR.Les Libéraux-Radicaux
www.ivette-djonova.ch
Nadine Gobet (FR)
PLR.Les Libéraux-Radicaux
Les entreprises industrielles contribuent activement à la prospérité de notre pays. Pour continuer d’avoir une industrie forte, certains éléments sont incontournables, telles que la libre circulation des personnes et la pleine intégration aux programmes de recherche européen. Cela passe par une stabilisation durable des relations entre la Suisse et l’UE. Le renforcement de la politique d’innovation, l’allégement de la bureaucratie et un droit du travail libéral sont également essentiels pour que l’industrie suisse ne soit pas pénalisée par rapport aux autres pays. Et pour faire face à la pénurie de personnel, il faut agir pour que la formation professionnelle, mais aussi académique, permette aux entreprises d’engager des femmes et des hommes qui répondent aux besoins de l’industrie.
Nadine Gobet
Directrice, Fédération Patronale et Économique
PLR.Les Libéraux-Radicaux
www.nadinegobet.ch
Fabian Grau (ZH)
PLR.Les Libéraux-Radicaux
À Berne, j’aimerais m’engager pour notre système de formation et avant tout pour le renforcement de l’apprentissage. En effet, l’apprentissage est la pierre angulaire de la formation pour contrer la pénurie de spécialistes et ne présente aucun désavantage par rapport au gymnase qui constitue également un élément important. Qu’il s’agisse de l’apprentissage ou du gymnase, les possibilités de raccordement sont les mêmes, tout comme les buts possibles, comme le master ou le doctorat.
En outre, avec l’apprentissage, on acquiert directement, donc à partir de 16 ans, de précieuses expériences de travail dans son domaine. Après le diplôme, des formations et des formations continues sont souvent suivies en plus du travail à 100%.
En plus du système de formation, je souhaiterais m'engager pour une société ouverte et tolérante, l’ouverture à toutes les technologies en politique énergétique, une AVS sûre et une loi sur le travail libérale.
Jürg Grossen (BE)
Parti les Vert’libéraux Suisse
La technologie est le facteur clé pour une protection efficace de l’environnement et du climat. Ce n’est qu’en coopérant avec l’économie et non en nous y opposant, que nous atteindrons les objectifs climatiques. Voilà ce qui me motive depuis des décennies en tant qu’entrepreneur PME. Je m’engage toujours en faveur des meilleures conditions-cadres politiques possibles afin que nous puissions compter à long terme sur une industrie tech performante. Grâce à l’industrie tech, nous atteindrons la neutralité climatique sans devoir faire de concessions quant à notre confort élevé. En pratiquant une politique de libre-échange européenne ouverte, je m’engage pour assurer durablement l’accès aux marchés mondiaux. De bonnes conditions d’exportations sont un élément clé pour pouvoir écouler notre technologie haut de gamme vers les pays limitrophes et le monde entier.
Jürg Grossen
Copropriétaire de l’entreprise elektroplan Buchs & Grossen SA
Parti les Vert’libéraux Suisse
www.juerg-grossen.ch
Franz Grüter (LU)
SVP
Nous sommes un pays sans matières premières. Le modèle de réussite de la Suisse se base sur des entreprises compétitives qui vendent leurs produits dans le monde entier et créent des emplois. Au sein du Conseil national, je m’engage en faveur de bonnes conditions-cadres pour ces entreprises précisément.
Diana Gutjahr (TG)
UDC
Je suis née le 13 janvier 1984, suis mariée et habite avec mon mari et notre fils à Amriswil. Après ma formation d’employée de commerce avec maturité professionnelle, j’ai étudié l’économie d’entreprise avec un semestre d’échange intégré à la HES de St-Gall. Aujourd’hui, je dirige avec mon mari Ernst Fischer SA, une entreprise de constructions en acier et en métal à Romanshorn. C’est une entreprise familiale classique avec quelque 80 employés et 10 apprentis. En tant qu'entrepreneuse, je connais les défis dans l’industrie. Nous devons veiller à notre place industrielle libérale, au marché du travail flexible et à nos PME, la base de notre prospérité. Il s’agit en particulier de supprimer les réglementations administratives inutiles, de garder les impôts bas et de créer la marge de manœuvre nécessaire aux entreprises. Seules les entreprises saines offrent des places de travail et de formation. En outre, notre système unique de formation professionnelle duale constitue grâce à sa perméabilité la base de la formation des spécialistes et protège durablement contre le chômage. Finalement, il n’y a qu’une seule Suisse. C’est pourquoi je me bats pour notre patrie.
Sylvain Jaccard (VD)
Vert libéraux
Grâce à ma grande expérience de promotion économique au niveau fédéral, je suis déterminé à soutenir les PME à promouvoir l'innovation, à garantir un modèle de formation adapté et à adopter des politiques de protection environnementale.
Les PME sont le moteur de notre économie. Elles créent des emplois, stimulent l'innovation et favorisent le dynamisme de nos régions.
Je m'engage à soutenir activement les PME en réduisant les charges administratives, en facilitant l'accès au financement et en favorisant l’accès aux marchés étrangers. Nous devons créer un environnement favorable pour permettre aux PME de prospérer et de contribuer pleinement à la croissance économique et sociale de notre pays.
L'innovation est essentielle pour maintenir notre compétitivité sur la scène internationale. Je m'engage à promouvoir la recherche, à encourager les collaborations entre les entreprises et les institutions académiques, et à faciliter la transformation numérique de nos industries. Ceci afin de créer des emplois de qualité pour les générations futures.
Je m’engage à travailler à une solution durable avec l’Europe.
Sylvain Jaccard
Directeur de marché, Switzerland Global Enterprise
Vert libéraux
www.sylvain-jaccard.ch
Véronique Kämpfen (GE)
PLR.Les Libéraux-Radicaux
Valoriser l’attractivité de l’industrie suisse me tient à cœur. Cela passe par des projets en lien avec l’innovation, la sécurité énergétique, le partenariat social, le développement durable et la formation professionnelle. Promouvoir les métiers de l’industrie est essentiel. Sans relève qualifiée, sans attirer les talents grâce à une politique d’ouverture, le dynamisme de l’industrie suisse est menacé. La pénurie de main-d’œuvre qui sévit dans les métiers industriels ne peut pas être ignorée. Les carrières féminines doivent notamment être encouragées et les jeunes filles davantage motivées à s’engager dans des métiers certes techniques, mais surtout épanouissants. Je m’engage pour une place industrielle suisse forte et responsable.
Véronique Kämpfen
Directrice, Fédération des Entreprises Romandes Genève
PLR.Les Libéraux-Radicaux
www.plr-ge.ch
Alexander Keberle (ZH)
Vert libéraux
L’innovation est dans l’ADN de la Suisse. Nos excellentes possibilités de formation, le niveau de recherche très élevé et nos entrepreneurs et entrepreneuses innovants font la réussite de la Suisse. Les entreprises tech jouent ici un rôle clé, quand on pense par exemple au rôle majeur que joue la technologie dans la lutte contre le changement climatique ou pour la place économique de demain.
Hans Knöpfel (ZH)
PLR.Les Libéraux-Radicaux
Depuis 30 ans, je conseille et dirige l’entreprise au niveau de la direction, notamment dans les domaines industrie, technologie et innovation.
Professionnellement, je vois à quelle vitesse change notre monde et réalise que notre société se trouve face à des défis toujours plus complexes. En même temps, la politique peine à tenir le rythme.
Pour plus de dynamisme à Berne, je m’engage en faveur de trois exigences. D’une part, je veux améliorer les conditions-cadres pour les PME et les multinationales en réglant nos relations avec l’UE, en réduisant les impôts et en exploitant toutes les possibilités numériques pour diminuer les charges administratives. D’autre part, je souhaite renforcer notre système de formation duale pour contrer la pénurie de la main d’œuvre spécialisée. Finalement, nous avons besoin d’un cadre sûr pour nos finances et notre système de santé. Pour cela, nous devons moderniser notre système fiscal (imposition individuelle) et améliorer l’efficacité de notre système de santé.
Peter Menzinger (ZH)
PLR.Les Libéraux-Radicaux
En tant que physicien, je m’engage en faveur d’une politique fondée sur la science et les faits et non sur une pseudo-science ou des rêveries idéologiques. Je considère le changement climatique comme la plus grande menace faite maison à laquelle l’humanité doit faire face. Ce sont les nouvelles technologies qui nous permettront de résoudre ce problème. Et de surcroît, ceci nous permet d’accéder à de nouveaux marchés et nous offre de nouvelles opportunités. Cela fait dix ans que je m’engage pour de meilleures conditions-cadres viables pour tous les partis en faveur de Power-to-X, que je considère comme une technologie clé pour réaliser la transition énergétique. En tant que motard et président d’honneur de la CI Motards Suisse, j’ai l’espoir de pouvoir continuer à faire des sorties à moto sans accélérer le changement climatique.
Matthias Michel (ZG)
PLR.Les Libéraux-Radicaux
Aussi bien en tant qu’ancien directeur de l’économie publique qu’actuellement en tant que conseiller aux États, je m’engage pour de bonnes conditions-cadres pour l’industrie suisse. En font partie des éléments tels qu’un système de formation professionnelle solide, un droit du travail libéral et, à l’échelle internationale, un large réseau d’accords de libre-échange. Au niveau de la législation, j’accorde une grande importante à des régulations neutres du point de vue technologique et à une marge de liberté pour les innovations.
Matthias Michel
Conseiller aux États ZG, Président du conseil d’administration de ipso Bildung AG
PLR.Les Libéraux-Radicaux
www.matthiasmichel.ch
Simon Michel (SO)
PLR.Les Libéraux-Radicaux
Je veux assumer des responsabilités. En tant qu’entrepreneur, je suis professionnel et comprend ce dont ont besoin les entreprises, les PME et l’économie dans l’ensemble pour qu’elles puissent prospérer et générer une plus-value et ainsi garantir la prospérité dans notre pays sur le long terme, voire l’augmenter. Dans le domaine de l’économie, j’assume des responsabilités pour que les personnes en Suisse aient des emplois sûrs demain également ; pour que toutes les portes soient ouvertes à nos enfants au cours de leur carrière professionnelle grâce à une formation adéquate ; et pour encourager l’innovation et le progrès technique. Au niveau de l’État, j’assume des responsabilités pour améliorer nos relations de négoce avec l’étranger et gérer l’immigration en Suisse de manière intelligente ; pour conférer aux citoyens de ce pays sécurité et stabilité ; et pour le climat et la protection de l’environnement, parce que l’engagement écologique garantit aussi notre survie économique à long terme.
Simon Michel (SO)
CEO et conseil d'administration, Ypsomed AG
PLR.Les Libéraux-Radicaux
www.simonmichel.org
Tiana Moser (ZH)
Parti les Vert’libéraux Suisse
Tiana Moser
Présidente du comité directeur de la FEA
Parti les Vert’libéraux Suisse
www.tiana-moser.ch
Daniel Probst (SO)
PLR.Les Libéraux-Radicaux
En tant que directeur de la chambre du commerce soleuroise et directeur de l’association suisse du décolletage SWISS PRECISION et de l’association suisse des fournisseurs de métaux SMZ, je connais très bien les préoccupations et les besoins de l’industrie tech suisse du fait de mon travail quotidien. En tant que député PLR au Grand Conseil, je m’engage pour une place forte de l’industrie et de l’innovation dans le canton de Soleure. Une économie forte est la base de notre prospérité. À Berne, je m’engage pour des relations stables avec l’UE et pour la conclusion d’autres accords de libre-échange, pour un renforcement du site de formation, de recherche et d’innovation qu’est la Suisse, pour un approvisionnement énergétique respectueux de l’environnement, fiable et abordable au niveau financier.
Frédérique Reeb-Landry (VD)
PLR.Les Libéraux-Radicaux
Je suis :
- en faveur d'une économie débarrassée des tracasseries administratives, créatrice d'emploi et favorisant un meilleur pouvoir d'achat,
- une société et des entreprises acquises au développement durable selon les 3 axes : économique, sociétal, environnemental,
- pour un système de santé abordable, performant et innovant.
Je suis aussi :
- pour la voie bilatérale, de nouveaux accords de libre échange favorables aux entreprises (majoritairement Tech), la liberté entrepreneuriale, un partenariat social pragmatique,
- en faveur de l'innovation, la recherche et la formation, notamment duale et pour les échanges essentiels avec l'Europe à ce sujet.
- Je suis pour la sécurité d'approvisionnement, l'économie circulaire, la production et la consommation de produits locaux et très en faveur de la place économique suisse et des conditions cadres le permettant.
Fréderique Reeb-Landry (VD)
Directrice romande, swiss export
PLR.Les Libéraux-Radicaux
www.reeb-landry.ch
Fabio Regazzi (TI)
Le Centre
Mon engagement à Berne consiste à défendre les intérêts des PME et à m’investir
- en faveur d’une concurrence équitable
- d’une place financière compétitive et diversifiée
- d’une mobilité ferroviaire, routière et aérienne complémentaire
- d’un meilleur positionnement de la classe moyenne et des familles
- d’une politique climatique raisonnable sans taxes et excès inutiles
- ainsi que pour plus d’attention pour les régions périphériques et l’agriculture de montagne.
Regine Sauter (ZH)
PLR.Les Libéraux-Radicaux
En tant que directrice de la chambre du commerce de Zurich, je suis consciente de l’importance d’une place industrielle largement soutenue. La force d’innovation de notre site a permis de créer un pôle de recherche et d’entreprises de pointe en matière de technologie haut de gamme dans l’agglomération zurichoise. Pour qu’il en reste ainsi et que nos entreprises restent compétitives, nous avons besoin d’un accès non discriminatoire à l’UE et d’une intégration dans les programmes de recherche européens. Voilà pourquoi je m’engage également en tant que conseillère nationale.
Elisabeth Schneider-Schneiter (BL)
Le Centre
Elisabeth Schneider-Schneiter (BL)
Présidente, Chambre du commerce des deux Bâle
Le Centre
www.schneiderschneiter.ch
Adrian Schoop (AG)
PLR.Les Libéraux-Radicaux
En tant que député au Grand Conseil, je m'engage déjà aujourd’hui pour de bonnes conditions-cadres dans la branche tech. Je souhaiterais faire de même à Berne. En tant qu’entrepreneur, je dois faire face tous les jours à des obstacles régulatoires qui freinent l’innovation et la concurrence. L’industrie tech doit être absolument dispensée de toute cette bureaucratie. En outre, l’accent politique doit être davantage mis sur le manque de spécialistes qualifiés pour que les entreprises disposent à long terme de la main d’œuvre qualifiée nécessaire. De plus, il est important que l’accès au capital-risque et aux possibilités de financement soit facilité. Par ailleurs, je suis convaincu qu’une politique commerciale libérale est indispensable à la place technologique de la Suisse. Le fait d’échanger sans obstacle des technologies, des produits et des services nous permet d’être globalement compétitifs.
Pascal Streiff (ZH)
Parti les Vert’libéraux
L’écologie et l’économie ne sont pas en contradiction. Au contraire. Le paysage industriel suisse regroupe dans l’industrie tech d’excellentes entreprises innovantes qui contribuent à des solutions durables. Une situation qu’il s’agit d’encourager. Par conséquent, je m’engage en faveur d’une politique européenne claire et ouverte qui nous permet d’accéder à Horizon Europe, d’un système de formation continu qui permet aux diplômés hautement qualifiés de travailler aussi chez nous, et d’une politique énergétique raisonnable qui, outre la promotion des énergies renouvelables, encourage la compétitivité.
Matthias Tischhauser (AR)
PLR.Les Libéraux-Radicaux
Une économie qui fonctionne bien est la base de tout. Elle crée des emplois, la prospérité et des recettes fiscales, desquelles la population peut profiter sous forme de prestations étatiques et sociales. Le besoin d’agir en politique économique est urgent. Nous sommes sur le point de perdre notre prospérité. Pour la conserver, nous devons nous en tenir à nos principes libéraux : propre responsabilité plutôt que tutelle étatique, incitations plutôt qu’interdictions, économie de marché plutôt qu’interventions étatiques, plus de libre-échange et moins de cloisonnement et de protectionnisme. Dans ce but, il faut de la main-d’œuvre qualifiée et un marché du travail flexible, des finances nationales saines, de la capacité à innover, une ouverture internationale, moins de bureaucratie, une sécurité juridique et un État fort et svelte.
Matthias Tischhauser
CEO, Tisca Tischhauser SA
PLR.Les Libéraux-Radicaux
www.matthias-tischhauser.ch
Christian Wasserfallen (BE)
PLR.Les Libéraux-Radicaux
Je représente une politique clairement bourgeoise au conseil national. La fiabilité et la ténacité sont des valeurs qui comptent pour moi en politique mais aussi dans mes tâches d’entrepreneurs dans l’industrie. Toutes les décisions doivent apporter quelque chose aux personnes et aux entreprises et non pas mettre des bâtons dans les roues.
Il y a beaucoup à faire pour notre pays :
- il nous faut plus d’électricité
- avoir une attitude confiante vis-à-vis de l’UE avec des solutions avantageuses
- politique migratoire et d’asile rigoureuse mais juste
- une bonne formation et des infrastructures adéquates sont importantes pour notre prospérité
Ma devise est la suivante : « Pas à gauche, pas à droite, mais de l’avant ! »
Christian Wasserfallen (BE)
Conseil d’administration, Tschudin SA
PLR.Les Libéraux-Radicaux
www.wasserfallen.news
Silvan Wildhaber (ZH)
PLR.Les Libéraux-Radicaux
Pour une économie performante et durable !
Comme, pour moi, l’économie et la vie vont de pair et sont interdépendantes, je m’engage en faveur d’une économie performante et durable.
L’État ne fonctionne que grâce aux performances des entreprises et de leurs collaborateurs. Je veux prendre soin des deux.
Pour la formation et la recherche en Suisse !
Mon entreprise occupe également 10 apprentis. Il faut renforcer l’apprentissage par une formation pratique et non pas scolaire. La théorie vise le but, la pratique l’atteint. Nos hautes écoles comme l’ETH et l’EPFL sont des leaders mondiaux en matière d’innovation et de recherche. Il faut défendre cette position et nous associer à nouveau à Horizon. Mon entreprise a également déjà réalisé avec succès des projets en coopération avec des hautes écoles spécialisées et l’EPF, ce qui conforte mon opinion.
Silvan Wildhaber (ZH)
Membre du comité, Swiss Textiles
PLR.Les Libéraux-Radicaux
silvan-wildhaber.ch
Beni Würth (SG)
Le Centre
Une économie performante est la base de l’équilibre et de la cohésion de la société. Il en résulte une société qui crée des libertés en donnant des chances et en récompensant les prestations. Des conditions-cadres adéquates sont essentielles, en particulier dans les domaines de la recherche et de la formation, du transfert des technologies, de la sécurité énergétique et du marché du travail. Ce qui signifie qu’il faut une meilleure régulation, mais dans une moindre mesure, pour l’industrie. En outre, nous devons garantir au moyen d’accords que l’industrie a un accès optimal aux marchés internationaux. La base industrielle de la Suisse est l’épine dorsale de notre prospérité.
Avez-vous des questions ou des suggestions ?
Chef de secteur
+41 44 384 48 65 +41 44 384 48 65 n.blancpain@swissmem.ch